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Vous envisagez de devenir mandataire immobilier ou de booster votre activité actuelle ? On vous comprend : entre liberté et potentiel de revenus, le métier attire ! Mais combien gagne réellement un mandataire immobilier en 2025 ? Et comment fonctionne la fameuse commission mandataire immobilier ? Dans cet article on vous explique tout pour que le salaire moyen d’un mandataire immobilier n’ait plus de secret pour vous.
Contrairement à une idée reçue, il ne suffit pas de vendre un ou deux biens pour s’assurer un revenu confortable. Le métier demande méthode, régularité et une vraie stratégie commerciale. Et ce n’est pas tout : le choix du réseau auquel vous êtes rattaché a un impact direct sur vos revenus. C’est ce qui fait toute la différence entre un mandataire qui stagne... et un autre qui décolle. Vous allez le voir, chaque détail compte.
Le métier de mandataire immobilier séduit de plus en plus de professionnels en quête de liberté et de hauts revenus.
En 2025, le salaire moyen d’un mandataire se situe entre 2 500 € et 4 000 € nets par mois, avec des écarts importants selon l'expérience, l’implication et le réseau choisi.
Contrairement à l’agent immobilier salarié, le mandataire est indépendant : il ne touche pas de fixe, mais perçoit une commission sur chaque vente, souvent entre 70 % et 100 % des honoraires.
Le chiffre d’affaires dépend donc des ventes réalisées et du taux de commission. Les revenus sont variables au début, mais peuvent évoluer très rapidement si l’activité est bien structurée.
Pour maximiser ses revenus, il est conseillé de rejoindre un réseau rémunérateur, comme Expertimo, qui propose une commission à 100 %.
I. Tout comprendre du salaire du mandataire immobilier
1. Quel est le salaire d’un mandataire immobilier ?
Parlons chiffres concrets. En 2025, le salaire d’un mandataire immobilier en France se situe entre 2 500 € et 4 000 € nets par mois. Il s’agit bien là du salaire net, celui réellement perçu après déduction des charges. Cela reste une moyenne : les revenus varient énormément selon l’expérience, le réseau, la région… et bien sûr, l’implication personnelle.
Certains professionnels, bien formés et accompagnés par un bon réseau, atteignent les 5 000 € à 6 000 € par mois. À l’inverse, un mandataire peu actif ou mal organisé peut rester en dessous du salaire minimum qu’il s’était fixé, parfois sous la barre des 2 000 € nets. Ce qu’il faut retenir, c’est que le salaire d’un mandataire immobilier n’est pas figé : le métier récompense l’engagement, la stratégie et la rigueur. Il s'agit d’un véritable projet entrepreneurial, dans lequel la rémunération du mandataire est directement liée à ses résultats.
2. Quel est le chiffre d’affaires d’un mandataire immobilier ?
Attention à ne pas confondre salaire et chiffre d’affaires. Combien gagne un mandataire ne correspond pas uniquement à ce qu’il touche en fin de mois. Le chiffre d’affaires représente le montant total généré par les ventes, avant toute déduction. Il s’agit de la somme brute issue de chaque transaction immobilière, avant frais et charges.
Vous touchez une commission mandataire immobilier, calculée selon le pourcentage négocié avec votre réseau et la valeur des biens vendus.
Prenons un exemple réel : une vente à 300 000 €, avec une commission d’agence de 5 %. Cela représente 15 000 € de commission brute. En tant que mandataire, vous touchez généralement entre 70 % et 85 % de cette somme, soit entre 10 500 € et 12 750 € bruts pour cette seule transaction immobilière. Multipliez cela par deux ventes par mois, et vous atteignez rapidement 20 000 € de chiffre d’affaires mensuel.
Mais là encore, le salaire brut ne reflète pas ce que vous percevez réellement. Il faut en déduire vos cotisations sociales, vos frais professionnels (déplacements, outils numériques, communication...), et éventuellement l’imposition si vous travaillez via une SASU ou une EURL. Le salaire d’un mandataire immobilier, c’est donc ce qu’il reste après toutes ces déductions : le salaire net, qui peut varier fortement selon votre statut juridique et votre gestion financière.
Et s'il est indépendant, quelle différence de salaire ?
Lorsqu'un mandataire immobilier est indépendant, sa rémunération est généralement plus flexible et potentiellement plus élevée, mais elle dépend entièrement de ses performances. Contrairement à un mandataire salarié, qui peut recevoir un salaire fixe plus une commission, le mandataire indépendant n'a pas de revenu garanti. Son salaire varie en fonction du nombre de ventes ou de transactions immobilières qu'il réussit à réaliser. Il est rémunéré uniquement à la commission, qui peut varier en fonction de son réseau, des biens qu'il vend et de son efficacité à attirer des clients.
3. Comment devenir mandataire immobilier ?
Un mandataire immobilier est un professionnel indépendant qui intervient en tant qu’intermédiaire dans une transaction immobilière, qu’il s’agisse de vente, d’achat, de location ou de gestion de biens. Il exerce dans le cadre de la loi du 25 juin 1991, qui encadre l’activité des agents commerciaux.
Il est également soumis aux articles 4 et 9 de la loi Hoguet (loi n° 70-9 du 2 janvier 1970), qui régit les professions immobilières. En tant que mandataire, il doit obligatoirement être une personne physique – et non une personne morale – car cette activité est strictement réglementée.
Vous n’avez pas besoin d’un diplôme en immobilier pour exercer. Contrairement à ceux qui souhaitent devenir agent immobilier, aucun diplôme spécifique n’est requis. Cela ouvre la voie à de nombreux profils en reconversion ou en quête d’une nouvelle opportunité professionnelle, sans avoir à reprendre de longues études.
Mais vous devrez tout de même respecter certaines obligations légales et suivre un parcours structuré pour démarrer dans les meilleures conditions.
Voici les étapes clés :
Trouver un réseau de mandataires. Ces structures vous permettent de travailler sous leur carte professionnelle, un point essentiel pour exercer légalement.
Signer un contrat de mandataire avec le réseau choisi. Ce contrat définit votre cadre d’action, votre rémunération et vos responsabilités.
S’immatriculer comme auto-entrepreneur ou créer une société (SASU, EURL… selon votre profil et vos ambitions).
Suivre la formation initiale proposée par le réseau. Elle dure généralement de quelques jours à quelques semaines et constitue une étape clé de votre recrutement dans le réseau.
Lancer votre activité : vous prospectez, vous visitez, vous négociez… bref, vous entreprenez, avec la liberté d’organiser votre emploi du temps comme vous le souhaitez.
Ce parcours accessible, allié à une vraie dynamique de recrutement dans les réseaux, en fait une opportunité de carrière à fort potentiel, surtout si vous souhaitez exercer dans un secteur en constante évolution.
De plus pour réussir, certaines compétences et qualités humaines sont indispensables :
Sens du contact : le mandataire est en relation constante avec des clients acheteurs et vendeurs. Il doit inspirer confiance et savoir écouter.
Autonomie : il travaille en indépendant, gère seul son emploi du temps, ses objectifs, et sa prospection.
Organisation et rigueur : entre les visites, les démarches administratives, et le suivi des clients, la gestion du temps est cruciale.
Goût pour la vente : la capacité à convaincre et à négocier est au cœur du métier.
II. Les mandataires immobiliers gagnent-ils bien leur vie ?
Son salaire de mandataire en immobilier est-il à la hauteur de son expertise ?
La question revient souvent, et à juste titre : est-ce que le jeu en vaut la chandelle ? Quand on parle du marché immobilier, les montants peuvent impressionner. Mais derrière les chiffres, qu’en est-il vraiment ? Est-ce que le mandataire immobilier, avec tout ce qu’il gère – prospection, négociation, accompagnement client, gestion administrative, signature de mandat de vente – est justement rémunéré ?
Une rémunération à la performance, sans plafond
Il faut être clair : le salaire d’un mandataire immobilier ne repose pas sur un fixe mensuel. Il perçoit une commission sur chaque transaction qu’il réalise. Et c’est justement ce qui attire autant que ce qui freine certains profils. Vous ne vendez pas ? Vous ne gagnez rien. Vous signez trois compromis dans le mois ? Vous pouvez doubler le salaire d’un cadre supérieur.
En 2025, la majorité des mandataires indépendants se situent dans une fourchette de 2 500 € à 6 000 € net mensuel, selon leur activité. Mais ce qu’on ne dit pas assez, c’est que les meilleurs dépassent régulièrement les 10 000 € par mois, sans salarié, sans vitrine, juste avec leur rigueur et leur réseau. Des résultats qui, bien souvent, dépassent aussi le salaire d’un agent immobilier indépendant, pourtant plus encadré par une structure traditionnelle.
L’impact de la zone géographique
Le lieu d’exercice joue un rôle majeur dans le niveau de revenus. Un mandataire implanté en région parisienne, sur la Côte d’Azur ou dans les grandes métropoles bénéficiera naturellement d’un volume de mandats de vente plus élevé et de commissions plus importantes, en raison des prix moyens plus hauts et d’un marché plus dynamique. À l’inverse, dans des zones rurales ou moins tendues, il faudra parfois compenser par une plus grande prospection ou une spécialisation pour atteindre un revenu équivalent. C’est là que la connaissance du terrain et l’adaptation à la demande locale font toute la différence.
L’expertise vaut-elle vraiment le revenu généré ?
Oui, sans aucun doute – mais pas automatiquement. Ce n’est pas le diplôme qui fixe la rémunération ici, mais l’expérience de terrain, la qualité de l’accompagnement, et la capacité à générer de la confiance.
Les efforts invisibles qui justifient les revenus
On ne va pas se mentir : les mandataires qui réussissent travaillent beaucoup. Les appels du dimanche soir, les visites improvisées, les relances qui s’éternisent, les compromis à corriger à minuit… tout cela fait partie du quotidien. Et c’est aussi pour ça que leur rémunération peut paraître élevée : elle reflète un engagement bien réel.
Ce n’est pas un métier “facile”, mais il offre une liberté et un potentiel de revenus que très peu d'autres activités indépendantes peuvent offrir. Vous construisez votre expertise sur le terrain, et votre rémunération suit cette courbe de montée en compétences. C’est ce lien direct entre performance, nombre de mandats de vente signés et revenu qui attire autant de reconvertis vers ce métier, dans un marché immobilier toujours en mouvement.
III. L’évolution du salaire
Se lancer comme mandataire immobilier, c’est accepter une réalité souvent méconnue : les revenus ne sont pas linéaires. C’est un métier où l’investissement personnel finit toujours par payer, mais rarement du jour au lendemain. Comprendre comment évolue le salaire d’un mandataire immobilier, c’est anticiper les phases de montée en puissance, et savoir à quoi s’attendre, dès le départ.
1. Quel salaire quand on débute ?
Les premières semaines, voire les premiers mois, peuvent être déroutants. Vous prospectez, vous visitez, vous vous formez... mais la première commission tarde parfois à tomber. Le salaire d’un mandataire débutant en 2025 oscille généralement entre 0 et 1 500 € net par mois, durant les trois à six premiers mois. C’est une période d’apprentissage intense, où vous posez les fondations de votre réseau, vos méthodes, vos automatismes.
2. Comment évolue le salaire d’un mandataire immobilier ?
La progression n’est pas linéaire, elle est exponentielle pour ceux qui structurent leur activité. Au fil des mois, vous gagnez en confiance, en réputation, en efficacité. Résultat : les ventes se font plus régulières, les mandats rentrent plus facilement, et le chiffre d’affaires grimpe.
Première année : entre 15 000 € et 40 000 € de revenus nets annuels, selon le rythme de travail et la formation.
Deuxième année : les revenus doublent facilement si l’activité est bien relancée, atteignant 50 000 € à 70 000 € nets.
À partir de la troisième année : le seuil des 100 000 € nets annuels devient accessible, surtout si vous commencez à parrainer ou constituer une équipe.
Et cette évolution se fait souvent sans augmenter votre charge horaire, car vous gagnez en méthode. Vous apprenez à mieux qualifier vos prospects, à signer des mandats exclusifs, à automatiser une partie de vos tâches. Le bouche-à-oreille fait le reste.
Une trajectoire personnalisable
Ce qui me plaît dans ce métier, c’est que vous pouvez vraiment choisir votre trajectoire. Certains préfèrent rester en solo, à leur rythme, en se concentrant sur 10 ventes bien ciblées par an. D’autres choisissent d’évoluer vers le management d’équipe, la formation ou même la création de leur propre structure.
Quoi qu’il arrive, le salaire suit la qualité et la constance de votre engagement. Il y a peu de métiers où cette corrélation est aussi directe.
IV. Quelle différence avec le salaire de l’agent immobilier ?
Quand on découvre le métier de mandataire, une question revient souvent : mais en quoi est-ce différent d’un agent immobilier classique ? Est-ce que les deux gagnent la même chose ? Est-ce qu’ils font le même travail ? Pas tout à fait.
L’agent immobilier est souvent salarié d’une agence. Il perçoit un fixe mensuel, auquel s’ajoutent des commissions sur les ventes qu’il réalise. À l’inverse, le mandataire immobilier travaille en indépendant, sans salaire fixe, et touche une part bien plus importante des honoraires de vente.
La différence clé ? Le niveau de risque et de liberté. Le mandataire assume seul ses périodes creuses, mais récupère une commission bien plus élevée lorsqu’une vente se conclut. L’agent, lui, bénéficie d’une stabilité salariale, mais doit souvent reverser une grosse partie des commissions à son agence.
Pourquoi les agents et conseillers immobiliers sont-ils rémunérés différemment ?
Les agents et conseillers immobiliers sont rémunérés de manière différente en fonction de leur fonction et du modèle de travail auquel ils adhèrent. Cette différence de rémunération est principalement liée à la vente immobilière et à la manière dont chaque professionnel génère ses revenus.
Les agents immobiliers salariés, par exemple, perçoivent généralement un salaire fixe auquel s’ajoutent des commissions sur les ventes qu'ils réalisent. Leur rémunération dépend donc en grande partie du nombre de transactions qu'ils réussissent, mais aussi de la qualité de leur gestion des biens et des relations avec les acheteurs et les vendeurs.
En revanche, les conseillers immobiliers, ou mandataires immobiliers, sont souvent des indépendants. Leur rémunération repose sur un système de commissions plus flexible. Ces professionnels sont rémunérés en fonction de leur performance, c’est-à-dire en fonction de l’estimation et de la vente des biens immobiliers qu’ils ont en charge. Ils reçoivent une commission sur la base du prix de vente, généralement une part des honoraires de l'agence. Leur revenu peut donc varier considérablement, car il est directement lié à leur implication et à leur capacité à concrétiser des ventes.
De plus, les conseillers immobiliers, contrairement aux agents, peuvent négocier leur pourcentage de commission avec leur réseau, ce qui peut aussi influencer leur rémunération. En fonction du réseau auquel ils sont affiliés, les conseillers peuvent percevoir des pourcentages allant de 50 % à 100 % des honoraires, ce qui peut faire une grande différence sur leur base salariale annuelle.
Ainsi, si les agents immobiliers ont souvent une rémunération plus stable, les conseillers immobiliers peuvent voir leur revenu fluctuer fortement, mais avec le potentiel de toucher des sommes bien plus élevées en fonction de leur travail et de leurs ventes.
V. Quelle est la rémunération d’un agent immobilier ?
Quel salaire pour un agent immobilier salarié en 2025 ?
En 2025, le salaire de base d’un agent immobilier salarié se situe entre 1 800 € et 2 500 € net par mois en début de carrière. C’est un métier où le fixe reste souvent modeste. Ce qui fait vraiment la différence, ce sont les commissions sur les ventes.
Un agent performant peut atteindre les 3 500 € à 4 000 € net mensuels, voire plus dans certains cas, mais cela reste l’exception. Il faut également noter qu’une partie des honoraires générés est reversée à l’agence (frais de structure, bureaux, marketing, etc.), ce qui réduit sa part individuelle.
Le cas de l’agent immobilier débutant
Un agent immobilier débutant commence souvent avec une rémunération proche du salaire minimum, à laquelle s’ajoutent des commissions progressives selon son activité. La montée en compétence, la connaissance du secteur et la capacité à signer des mandats de vente sont les clés pour faire rapidement évoluer sa rémunération.
Le choix entre sécurité et potentiel
C’est un vrai choix de modèle. Certains privilégient la sécurité du CDI, un cadre structuré et des primes régulières. D'autres recherchent l’autonomie, la flexibilité des horaires, et la liberté d’action – tout en acceptant le défi de générer eux-mêmes leur rémunération en tant que mandataires indépendants.
Une vraie réflexion à mener
Si vous hésitez entre les deux statuts, posez-vous une seule question : voulez-vous être payé pour votre temps ou pour vos résultats ? Le modèle salarié rassure. Le modèle indépendant responsabilise. Il n’y a pas de bon ou de mauvais choix, juste une réalité différente derrière le salaire.
V. Augmenter son revenu
Une fois lancé, avec quelques ventes à votre actif et les premières commissions encaissées, une nouvelle question se pose : comment aller plus loin ? Le métier de mandataire immobilier ne se limite pas à un simple roulement de mandats. Il offre un potentiel d'évolution très concret, à condition de structurer votre activité et de faire des choix stratégiques.
Voici trois leviers concrets pour augmenter vos revenus, et transformer votre activité en véritable moteur de croissance.
1. Comment un mandataire immobilier peut-il augmenter ses revenus ?
Tout part d’un constat simple : vos revenus dépendent directement de votre performance commerciale. Il ne s'agit pas uniquement de vendre plus, mais de vendre mieux. Cela peut passer par plusieurs axes :
Augmenter la valeur moyenne des biens vendus : viser des biens à 400 000 € au lieu de 180 000 €, c’est doubler vos commissions, sans doubler vos efforts.
Travailler en exclusivité : un mandat exclusif, bien géré, se vend plus vite et avec moins de concurrence. Vous gagnez en efficacité.
Optimiser vos outils : CRM, outils de prospection automatisée, home staging virtuel... ce sont des investissements qui permettent de gagner du temps, donc de traiter plus de dossiers.
Un mandataire que j’ai accompagné, Julien, a simplement changé de secteur en se spécialisant dans les biens atypiques autour de la côte basque. Résultat ? En six mois, son chiffre d’affaires a bondi de +65 %. Pas parce qu’il travaillait plus, mais parce qu’il avait repositionné son offre.
2. Comment maximiser son salaire en tant que mandataire immobilier ?
La clé, c’est le taux de commission perçu. Contrairement à un agent immobilier salarié, vous ne touchez pas un pourcentage fixe : il dépend du réseau auquel vous êtes rattaché. Certains réseaux versent 70 % à 85 % des honoraires, quand d’autres plafonnent à 60 %.
Les mandataires immobiliers réalisent aussi des économies significatives grâce aux packs proposés par leur réseau, qui incluent des outils professionnels à tarifs négociés. Plutôt que de payer chaque service (logiciel, diffusion d’annonces, signature électronique, etc.) séparément, ils accèdent à une offre complète à prix préférentiel, souvent bien en dessous du coût réel sur le marché. Résultat : moins de frais fixes et un meilleur retour sur investissement dès les premières ventes.
Plus vous choisissez un réseau généreux (et transparent sur ses frais), plus vous récupérez la valeur de votre travail. Il faut aussi regarder :
Les outils fournis (ou non)
L’accès à la formation continue
La présence ou non de frais mensuels
Les possibilités d’évolution en management d’équipe
Certains mandataires choisissent aussi de créer leur propre micro-structure, ou de passer en société pour optimiser leur fiscalité. Si vous générez plus de 70 000 € annuels, ça mérite d’être étudié sérieusement.
3. Comment rejoindre le réseau immobilier qui paye le mieux ?
Ce modèle convient parfaitement aux mandataires expérimentés. Si vous êtes à l’aise avec votre métier et que vous voulez faire “le grand saut”, c’est un levier très puissant pour faire décoller vos résultats.
Les avantages du salaire d’un mandataire immobilier indépendant avec Expertimo
Tous les réseaux ne se valent pas, surtout sur le plan financier. Si votre objectif est d’augmenter votre revenu net, le choix du réseau devient stratégique. L’un des grands avantages du réseau Expertimo, c’est son modèle de rémunération ultra compétitif, conçu pour récompenser réellement l’autonomie et la performance. Contrairement à d'autres réseaux, Expertimo propose une commission à 100 % : les mandataires immobiliers conservent l’intégralité des honoraires générés sur leurs ventes, après une simple cotisation fixe mensuelle, sans surprises ni frais cachés.
Ce système séduit particulièrement les professionnels expérimentés en agence traditionnelle ou déjà actifs dans d'autres réseaux. Pourquoi ? Parce qu’ils constatent rapidement l’impact direct de leur chiffre d'affaires sur leur salaire, sans devoir en reverser une grosse part à une structure intermédiaire. Le salaire d’un mandataire immobilier indépendant chez Expertimo peut ainsi dépasser largement les standards du secteur, surtout pour ceux qui vendent régulièrement.
Vous cherchez à gagner plus tout en gardant votre liberté d’organisation ? Vous avez l’âme d’un entrepreneur et envie d’évoluer à votre rythme, sans plafond ? Le modèle Expertimo vous donne les moyens d’y parvenir. En rejoignant ce réseau, vous capitalisez sur votre savoir-faire tout en maximisant vos revenus – un vrai levier de carrière pour tout mandataire ambitieux.
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